C'Chartres Habitat, c’est du grand art ! Un vrai foutoir à ciel ouvert. Dès que tu veux faire un truc chez eux, c’est comme jouer à la roulette russe mais avec un pistolet chargé à bloc ! Les réponses, y’en a jamais ! Les problèmes ? Ah ça, par contre, y’en a tout le temps. Si c’est pas les logements qui tombent en miettes, c’est les papiers qui disparaissent. Une gestion pire qu’un poulailler sans coq !
Et alors, les réparations ? Ah ben accroche-toi, hein ! T’as plus de chances de voir un avion atterrir dans ton salon que de les voir débarquer avec leurs outils. Et quand ils viennent – miracle ! – c’est pour faire pire que mieux : un coup de peinture par-dessus les fissures et hop, 'ça tient, chef !'.
Mais ce qui est encore plus fort, c’est leur façon de te prendre pour un jambon. Les promesses ? Ça pleut ! Mais des résultats ? Que dalle ! On dirait qu’ils ont pris des cours de pipeau avec les plus grands maestros. Franchement, t’as l’impression qu’ils gèrent ça comme un barbecue entre potes, sauf que même là, ça finirait mieux organisé.
Alors un conseil : si tu veux pas finir à écrire des lettres de réclamation tous les dimanches, passe ton chemin. C’Chartres Habitat, c’est le summum de l’amateurisme avec une pincée de foutage de gueule. 'Bienvenue chez nous' qu’ils disent ? Moi, j’dis, 'Bienvenue dans la galère' !